titre à venir (( aucune idée mais chuut (a) )) •• MIA ♥

Ce matin, je m'étais réveillée assez tôt, dans les alentours de huit heures. Depuis que j'avais arrété les cours, c'était la première fois que je m'étais réveillée aussi tôt. D'habitude, je me levais toujours entre neuf heures et dix heures, parfois même plus tard et le temps que je me prépare, je loupais toujours le petit-déjeuner, enfin, je me rattrapais lors du déjeuner. Je n'avais toujours pas compris pourquoi je m'étais réveillée tôt. Quelque chose me tracassait mais je ne savais pas encore quoi. Sans faire de bruit pour ne pas réveiller mes colocataires, je marchais en direction de la salle de bain en ayant pris soin de prendre des vêtements dans l'armoire qui m'avait été attribué avant de me rendre dans la salle de bain.

Ce n'étais qu'une heure plus tard, vers neuf heures et demie que je venais de sortir de la salle de bain. Mes colocataires dormaient toujours et c'était pour cette raison que je leurs laissais un petit mot sur la petite table qu'il y avait dans la chambre comme quoi je m'absentais et que je ne reviendrais que le midi ou bien le soir si je mangeais en ville. Je pris donc mon sac, mes clés et referma la porte de l'appartement derrière moi. Dehors, je me dirigeais vers l'arrêt de bus pour utiliser les transports en commun. Une fois le bus arrivé, je montais dedans et payais un ticket pour ensuite aller m'asseoir. Je ne restais pas longtemps dans le bus puisque nous étions arrivés dans le centre-ville. Ma matinée fut vite terminée et donc, pour ma pause déjeuner, j'étais allée manger dans un fast-food, endroit où je pouvais manger rapidement.

Mon après-midi, je l'avais consacré au centre commercial de Rome. Assez grand pour y passer tout un après-midi, je n'avais rien de mieux à faire en ce moment alors un après-midi shopping était programmé. Mon après-midi fut long. Très long. J'étais passée par absolument toutes les boutiques du centre commercial et c'était pour cela que je n'étais rentrée que vers dix-huit heures. Toujours en prenant les transports en commun. Arrivée à mon appartement, personne n'était à l'intérieur. Mes colocataires étaient certainement sortis dehors. Je m'allongeais alors sur mon lit en posant mon sac par terre et m'emparais du livre qui était alors sur ma table de nuit, cette dernière se trouvant près de mon lit.

Vers dix-neuf heures, le restaurant de la résidence ouvrait ces portes pour que nous, résidants des appartements de la fameuse résidence, puissions nous restaurer si nous le voulions car oui, on pouvait faire à manger nous même dans nos appartements bien sûr mais ce soir, j'étais bien trop crevée pour me préparer à manger. Ayant beaucoup faim, je fus une des premières à rentrer dans le restaurant de la résidence. Au menu, rien de bien croustillant. Mais c'était tout de même mieux que rien. Dans le restaurant, j'aimais bien m'asseoir sur le côté de la salle, en retrait par rapport aux autres. Cela me permettait de voir tout le monde, de les regarder et en plus, cela me passait le temps. Ce n'était qu'aux alentours de vingt heures que je quittais la salle pour retourner dans mon appartement. Cette journée en ville m'avait épuisée et pourtant, l'envie de dormir n'était pas là. Une fois dans mon appartement, je retournais dans la salle de bain pour la deuxième fois de la journée pour en ressortir une heure plus tard. Le temps passait extrêmement vite quand j'entrais à l'intérieur d'une salle de bain alors que pourtant, je n'avais jamais l'impression de mettre une heure entière seulement pour prendre une douche, pour m'habiller, me maquiller ou me démaquiller. Bref, disons que de ce côté-là, j'étais bien une fille (a). N'ayant pas envie de dormir, je m'emparai des clés de l'appartement, puis je sortis de cette chambre une fois encore tout en la refermant derrière moi et mes clés se retrouvèrent rapidement dans une des poche mon jean. Je montais alors au dernier étage et montais ensuite l'escalier qui menait au toit de la résidence.

D'en haut, on pouvait voir toute la ville de Rome. La nuit, la ville était vraiment belle avec toutes ces lumières. Je m'approchais alors du bord, puis je m'asseyais au bord, les jambes dans le vide. Certes, c'était assez dangereux, mais je n'avais pas non plus cinq ans. Il faisait assez froid ce soir. Si j'avais su, j'aurais pris un gilet ou un pull en plus mais c'était trop tard, j'avais bien trop la flème de redescendre tous les escaliers pour prendre un gilet. Cet endroit était celui que je préférais la nuit. Je pouvais réfléchir tranquillement, sans être dérangée. C'est pendant que je réfléchissais sur certaines choses qu'un bruit de porte me perturba. Je regardais derrière moi, en direction de la porte mais rien. Puis, mon regard se reposa sur les lumières de la ville..

A CELUI QUI ME RÉPONDRA ; D'avance, désolé pour les fautes ! Je n'me suis absolument pas relue --'

Goddess of Rome

Je m’étais réveillée de bonne heure, mais c’était habituel chez moi. A part les week end, je faisais très rarement la grasse matinée. J’étais une vraie pile électrique, de plus j’aimais profiter de l’heure matinale pour voir la ville s’éveillait. Il était agréable de pouvoir prendre un bol d’air frais sans avoir à affronter la foule et heureusement pour moi en me levant vers 6h j’étais certaine de ne croiser personne. J’adorais prendre mon temps pour me doucher, me détendant sous un jet d’eau brulant puis prendre un petit déjeuner léger. Après ça j’aimais bien aller courir pour me défouler en prévision de la journée. Une fois que je rentrais, j’étais parfaitement calme. J’attrapais ma tenue de sport et allumais mon i-pod alors que descendais les escaliers.

Je souris en fermant ma porte. J’étais heureuse de vivre seule car ainsi je gérais mon espace comme il me plaisait, et je n’avais pas à faire attention de déranger mes colocataires. Moi qui étais plutôt du genre bordélique, j’étais vraiment heureuse de pouvoir être seule. De plus, j’étais ainsi certaine que mes cauchemars ne risquaient pas de réveiller qui que ce soit. Et puis, il fallait avouer que je n’aimais guère partager mon territoire. Mon côté autoritaire avait tendance à vite ressortir et je ne pensais pas que qui que ce soit aurait pu me supporter à longueur d’année. J’étais libre de faire ce que je voulais sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit ; que ce soit parce que je rentrais à pas d’heure, parce que je faisais top de bruit, parce que j’étais totalement désorganisée ou parce que je t’utilisais toute l’eau chaude. Personne ne pouvait me faire de remarque déplaisante, même s’il est vrai que je passais la majeure partie de mon temps fourré chez Rom’. Cependant, ces temps-ci j’espaçais mes visites pour lui permettre d’être seul avec sa dulcinée.

L’avantage principal d’être seule était que je pouvais être moi-même sans aucune contrainte. Je cessais d’être la populaire et enviée Hermia Selvaggi pour ne redevenir qu’une fille comme les autres. J’aimais me pelotonner dans un plaid moelleux devant une bonne série ou surfer sur internet. Je ne me souciais alors plus du tout de l’image que je projetais. Ainsi, j’avais été courir un moment, était rentré pour prendre une douche rafraichissante et sitôt habillée j’étais partie flânée dans les rues puis m’était acheté quelques livres dans ma librairie préférée. J’avais déjeuné à la terrasse d’un café avant de rejoindre des amis. Quand, j’étais rentrée, je m’étais écroulée sur mon lit, et avais savouré la sensation d’avoir eu une journée bien remplie. Car s’il y a bien une chose que je détestais, c’était de tourner en rond à ne rien faire.

Je tournais la tête vers mon réveil et eus une moue mécontente en voyant qu’il était déjà 19 heures. J’avais beau être affamée, je rechignais à me lever de mon lit moelleux. Je soupirais en pensant au repas à peu près passable du restaurant de la résidence, mais il était hors de question que je cuisine, les rares expériences culinaires que j’avais entrepris avaient tournés au désastre. J’attrapais mon portable est fit le numéro d’un restaurant auquel je faisais souvent appel quand je souhaitais me faire livrer. Il faisait des plats délicieux et étant une bonne cliente ils faisaient toujours tout pour me satisfaire au mieux. Je me déplaçais de quelques centimètres de façon à me redresser contre mes oreillers et attrapais la télécommande pour faire défiler les programmes. J’optais finalement pour une série quelconque, tentant de lutter contre la torpeur qui m’envahissait. Heureusement, un coup frappé à ma porte me sortit de ma somnolence et je m’élançais d’un bond pour aller ouvrir au livreur. Après les banalités d’usage, la note payée et le pourboire donné, je récupérais mon repas. Je m’installais confortablement pour déguster mes pennes regate gorgonzola, mon thé glacé et un sorbet framboise.

Alors que je venais de finir mon repas, je décidais d’aller prendre l’air. Et de quoi de mieux pour cela que les toits de la résidence. J’adorais quand il faisait nuit noir voir toutes ces lumières s’étaler sous mes yeux. Je m’extasiais alors de la beauté d’un moment aussi simple. J’aimais quand il y avait du vent, le sentir fouetter mon visage. Je montais les escaliers et poussais doucement la porte. Je restais cependant un instant derrière le temps de fermer ma veste, puis j’avançais enfin à l’air libre. J’eus un sourire furtif en voyant que quelqu’un était déjà là. Je m’approchais de la frêle silhouette et reconnus une jeune fille avec qui j’avais discuté. Son nom était Eileen selon mes souvenirs. Je m’assis à ses côtés et lui sourit.

« Salut ! J’espère que je ne te dérange pas ? Si c’est le cas, je peux te laisser. D’ailleurs, je ne sais pas si tu te souviens de moi ; je suis Hermia Selvaggi. »

Je lui tendais ma main, alors que mes jambes se balançaient dans le vide.

Cet endroit était celui que je préférais la nuit. Je pouvais réfléchir tranquillement, sans être dérangée. De plus, c'était à la fois reposant. C'était pendant que je réfléchissais sur certaines choses qu'un bruit de porte me perturba. Je regardais derrière moi, en direction de la porte mais rien. Pourtant, j'aurais pu juré à n'importe qui que j'avais entendue un bruit. N'ayant pas envie de rester trois heures sur une histoire de porte, mon regard se reposa sur les lumières de la ville et je revint alors dans mes pensées.

Le ciel était noir, en même temps, c'était la nuit. Mais je n'avais rarement vu un ciel aussi noir. Peut-être cela cachait-il un temps pluvieux et maussade ? Chose que je n'espérais absolument pas. La pluie, c'était très peu pour moi. Je regardais ma montre, il était tard. Je le sentais mais je n'avais pas cette envie de dormir, même si je m'étais réveillée tôt pour une fois. Chose plutôt étonnante étant donné que j'étais une grosse dormeuse. Enfin, disons que j'aimais aller me coucher tard et me lever tard.

J'entendais alors des pas. Mon idée de bruit de porte se confirmait alors. Je tournais la tête encore une fois vers la porte qui menait au toit du bâtiment et découvris alors une jeune femme, blonde qui n'étais qu'a quelque mètres de moi. De suite, je pouvais la reconnaître. C'était Hermia; Hermia Selvaggi. Je l'avais connue une fois, par hasard. On avait alors discuté toutes les deux, le tout autour d'un café. J'avais passé un bon moment avec elle. La jeune femme blonde vînt alors d'asseoir à mes côtés, elle aussi les jambes dans le vide, puis me regardant, elle me tendait la main. De ce fait, je fis de même.

▬ Je me rappelle très bien de toi. J'avais passé un bon moment en ta compagnie la dernière fois, alors oui, bien sûr que tu peux rester. Ça me fait plaisir.
Un sourire se dessinait alors sur mes lèvres ainsi qu'aux siennes.

•• UNDERC. J'ai pas terminé. Je finirais demain très certainement