Jules Aleksandr Volkov;

Jules Aleksandr Marie Volkov

Vous, vous aimez tout le monde;
autant dire que vous n'aimez personne.

© acide-edulcore

Nom ;

Prénoms ;

Date de naissance ;

Âge ;

Ville de naissance ;

Origines ;

Statut ;

Groupes ;

Je suis comme je suis.

Ce jeune homme, trop adolescent pour faire naître un quelconque sentiment de malaise, avec un visage trop innocent et chaleureux pour éveiller votre méfiance, est peut-être un joueur né qui sait. Tout à toujours tourné autour de lui, tout a toujours été si facile, que cela explique peut-être son insouciance presque attendrissante.

Ainsi donc, Jules est toujours d’un charme et d’une courtoisie flatteuse, son rire carillonne facilement, ses manières à la fois élégantes et empreintes d’une naïveté enfantine font sourire et l’ont s’adouci, ont se laisse l’apprécier. Il vous donne une affection presque immédiate, il place en vous une confiance que vous pensez exclusive, naïve et illimité alors qu‘elle ne l‘est qu‘en apparence; vous vous apercevrez vite qu’au final vous ne savez pas grand-chose. Il rougit quand il se rend compte d’un geste peut-être trop familier avec vous, bafouille après une maladresse. Un besoin de le protéger, de céder à ses envies vous arrivera peut-être ? Car étrangement il satisfait beaucoup de ses envies en étant ce grand garçon attachant.

Sa façon de parler, de bouger dégage ce charisme des gens qui ont grandi dans la haute société, tout en étant si naturel qu’on croirait cela inné. Quelque chose dans son comportement premier ou dans son physique, peut-être les deux combinés, vous mettra vite à l’aise. Souvent on ne comprend pas son caractère optimiste, rêveur, presque enfantin dans sa façon de voir les choses. Rien ne semble important, ou grave, et l’on pourrait facilement croire qu’il a grandi dans une famille aisée, parfaite, affective, et donc a toujours été protégé de la « vie réelle ». Ce qui serait assez cliché, et faux. Mais il se fiche de ce qu’on pense de lui.

Ce qui compte pour lui ? Ce sont ses envies, presque vitales. Il ne réussit pas à se fixer de projet à longue durée, toutefois quand il se fixe un but à atteindre, par exemple - exemple bête - être ami avec une fille l’ayant dédaignée, il ne pourra s’en détacher. Son quotidien est une sorte de jeux. Et si l’on regarde bien, il est totalement sincère et dénué de mauvaises intentions. Ce n’était pas de sa faute s’il avait fait pleurer celle-ci, qui avait cru ses déclarations qui étaient vraies sur le moment, mais avait disparu quelques heures après. Ses sentiments ont toujours été très forts, très sincères, mais également éphémères. Un jour vous êtes la seule personne qui compte à ses yeux, fille ou garçon, amitié ou amour, et le lendemain soudain, le sentiment s’est éteint, alors il se détourne vers autre chose, de plus intéressant.

En résumé, pour ne pas trop vous embrouillez, Jules est d’une simplicité complexe. Beaucoup on des doutes quant à sa personnalité : penserez -vous qu’il s’amuse à faire semblant d’être ainsi, ou préférez-vous croire à cette innocence immaculée, cette sincérité éclairant le bleu de ses yeux ? Ici n’est décrit qu’une partie de son caractère, on pourrait ajouter qu’il est un ami modèle assez excentrique toutefois, que lorsqu’il se met en colère il peut devenir violent, qu’il cédera à tous vos désirs si vous lui êtes intéressant, mais tout ça vous ne le découvrirez qu’en le fréquentant.

Attaquons son physique, point important voir vitale aux yeux de tous. Jules ressemble donc à un adolescent qui va tout de même vers ses vingt ans, contrairement à ce que l’on pourrait attendre de lui, vu sa noble famille, il s’habille dans ce qui lui convient le mieux, et ce n’est pas un costard cravate. Au regret de son père, lorsqu’il s’aperçoit soudain de sa présence. Pour faire court, ses goûts varient, il n’aime pas porter plus de deux fois la même chose, et à les moyens de se procurer ce qu’il veut quand il en a envie. Pourtant on ne remarque pas ça lorsqu’on le voit, oisif jeune adulte bien dans son jean délavé et artistiquement déchiré.
Sa peau claire peut s’expliquer autant par ses gènes russes que anglais; ses yeux d’un bleu ciel pour le moins captivant virant parfois au vert, lui viennent de son père (russe donc), et ses cheveux d’un noir d’encre de sa mère anglaise. Il les garde long par esthétique, parce qu’il les aime ainsi, et parce qu’il ne peut s’empêcher de passer sa main dedans. Et puis ce serait sacrifice de couper des cheveux si doux non ? Seul contradiction à son petit air angélique, ce sont ses piercings au labret, ils sont un souvenir d’adolescence sur ses traits se faisant plus adultes et fins au fur et à mesure des années.

Quand le masque tombe.

Pseudo / Prénom Kim, et non ce n’est pas un diminutif u_u
Âge ; 15 ans
Comment avez-vous connu le forum ? Top Site
Qu'en pensez vous ? Si j’y suis c’est que j’aime ^^
Célébrité de votre avatar ; Alex Evans; on l’a beaucoup vu, soit on l’aime soit on le déteste, et personnellement je ne sais pas trop quoi penser, je voulais juste le jouer (et je trouvais aucune célébrité qui ait un air gamin, ca se trouve plus de nos jours :’|)
Code du règlement ; 'kay by eileen

Raconte moi une histoire.

Jules Aleksandr Marie Volkov est né, tandis que la mère soulagée autant du fait qu’elle n’aura plus besoin de faire d’enfants que de celui qu‘elle portait depuis neuf mois, dort, le père emplis de fierté lève son verre avec les autres grandes pointures russes. Qu’il est bon de tout avoir, femme et enfants, richesse et reconnaissance, juste par le nom du père du père etc., etc. de votre père.

Commençons alors que Jules va sur ses six ans, et que ses deux sœurs ont huit et dix ans. Comment ne peut-il pas être comblé ? Naturellement favorisé par rapport à ses deux aînées, aimé par sa mère, admiré et sans cesse flatté dans son égo par son père, on accède à la moindre de ses volontés, une femme de la quarantaine est à son seul service, et il a le droit de participer aux réunions de son père depuis qu’il assène royalement les mots « non » et « papa ». Et cela lui confère un sentiment d’intense supériorité, ce qui expliquait peut-être pourquoi il ne considérait même pas ses sœurs comme ses égales, il avait plutôt tendance à leur lancer des jouets dessus, ou à les accuser pour ses propres bêtises, bien qu’elles soient plus vieilles elles enrageaient tout en sachant qu’il ne servait à rien de se plaindre. Bref, la vie était belle.
Très tôt il devint un petit prince, dû moins c’est-ce que l’on disait, toutefois on s’inquiétait; n’était-ce pas de la condescendance qui perçait dans son sourire angélique et son regard bleu ? C’était idiot, il avait 12 ans. Mais l’on ne disait rien là-dessus, ce n’était pas le problème des autres s’il avait été élevé comme un enfant roi, dans ces grandes familles c’était si souvent le cas. Seulement personne ne savait ce qu’il se passait à l’intérieur de cette image qu’il s’était forgé, il savait qu’il devait plaire à ses parents et il aurait alors droit à tout. C’est alors qu’il se mit à jouer avec les gens, et avec son adolescence naquit une envie irrépressible de sortir des rails de sa vie toute tracée. Il y avait longtemps qu’il le voulait, sauf que là il allait le faire, il le savait. Il commença par ne plus assister à ses cours particuliers, il disparaissait on ne sait où la journée, et revenait avec un air absent et béatement ravi. Son code vestimentaire sobre et classe se changea en des habits excentriques qui firent grincer des dents. Encore aujourd’hui on se rappellera du jour où il avait mis un kilt avec des new rocks, et une chemise déchiré pour assister à une réunion de son père. Il allait à l’extrême, ne cherchait pas à se compliquer la vie, et il se mit à aimer cela. Sa grande-sœur de 19 ans devint plus proche de lui également, elle appréciait l’espèce de rébellion de son petit-frère, elle qui avait si souvent désiré faire pareil sans oser. Son père, après avoir essayé tant bien que mal de le remettre dans le droit chemin, se mit à fermer les yeux, tout comme sa mère qui mit toute son attention sur sa plus petite-fille de 16 ans. Cette dernière se plaisait à être le centre d’attention de tous.

Plus le temps passait et plus il se modéra, notamment d’un point de vue vestimentaire, il gagnait en maturité, devint une espèce de petit garçon adorable face aux autres, bien que dès qu’il passe le seuil de chez lui il redevint insupportable, pleins de railleries et de phrases parfois obscènes face à ses parents. Mais il n’allait plus tellement chez eux justement. Il avait obtenu un appartement luxueux dans une ville de Biélorussie, et chaque jours y défilait ses amis, ses connaissances, ou ses conquêtes d’une nuit. On laissait passer tout cela, on ne cherchait plus à savoir ce qu’il faisait. On fermait les yeux, on disait que ça passerait quand il quitterait son statut d’adolescent. Jusqu’à ce qu’il devienne trop proche de sa sœur.
Après un épisode particulièrement déplaisant, son père l’envoya en Angleterre dans une école de commerce réputée. Mais il n’était pas si simple de le renvoyer dans une vie normale. Ainsi il fugua en quelque sorte, il disposait d’un compte trop beau pour ne pas s’en servir. Il ne passa que peu de temps à Londres avant d’aller à Rome où on lui avait parlé d’une résidence. Si il choisit d’y aller, c’était pour se poser un moment, et changer de tous ces petits british qui commençait à lui taper sur le système. Et puis avait-il quelque chose de mieux à faire ?